Le Conseil supérieur des Oulémas a fixé, il y a quelques jours, le montant minimum de la Zakat Al Fitr au titre de l’année 2024/1445.
Une enseignante marocaine a gagné son procès contre une école catholique de Kénitra (40 km de Rabat) qui l’avait licenciée pour ne pas avoir accepté d’ôter son voile en classe.
D’après le journal Al Massae, le tribunal de première instance de Kénitra a ordonné mardi à l’école catholique qui l’employait d’indemniser Zahra Touik. L’affaire a éclaté en juillet dernier quand l’enseignante s’est rendu compte du changement de règlement à la signature de son contrat. Ce nouveau règlement obligeait les professeurs à enlever leur voile durant les horaires de classe.
Zahra Touik a refusé de signer le nouveau règlement et a porté plainte contre son employeur quand elle a été licenciée. Dans une déclaration au journal, son avocat, Rachid Belarabi s’est félicité du jugement le qualifiant de « victoire des valeurs d’ouverture, modération et de tolérance religieuse. »
L’avocat a reproché au ministère de l’éducation nationale marocain son silence tout au long de cette affaire. Au Maroc, le hijab fait partie intégrante de la tenue vestimentaire de la femme, que ce soit dans la rue ou sur le lieu de travail.
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