Une nouvelle entreprise marocaine se voit attribuer un marché de taille dans le cadre du projet de ligne grande vitesse Kénitra-Marrakech.
Après le refus du roi Mohammed VI d’acheter l’avion de combat de Dassault, Rabat négocie avec l’Élysée la fourniture du TGV. Le geste royal permettrait de maintenir la visite, fin octobre, de Nicolas Sarkozy au Maroc.
La France semble avoir perdu le contrat d’équipement d’avions de combat au Maroc. Pour compenser son refus d’acheter à Paris le Rafale, le roi Mohammed VI serait prêt à acquérir des équipements TGV. Les deux pays sont en train de négocier des contreparties commerciales honorables pour Paris, selon plusieurs sources industrielles.
Ce geste du roi, qui souhaite équiper son pays en infrastructures lourdes, pourrait atténuer la colère de Paris, qui comptait sur la première vente du Rafale à l’export. Il permettrait de maintenir la visite officielle de Nicolas Sarkozy au Maroc d’ici à la fin octobre.
La Tribune
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