La chambre criminelle près de la cour d’appel a décidé de reporter la décision de remise en liberté de l’ex-redacteur en chef du journal "Akhbar Alyoum" jusqu’à la semaine prochaine.
Poursuivi sous plusieurs chefs d’inculpation relatifs à la traite des personnes, l’exploitation et l’harcelement sexuels, Taoufik Bouachrine fait l’objet, selon un rapport onusien, d’une détention arbitraire, un constat que ses avocats n’ont pas manqué de soulever dans leur plaidoirie.
Suite à une requête de la défense du journaliste, qui a demandé lors des précédentes audiences la levée de la "détention arbitraire", le magistrat près la cour d’appel en charge du dossier, a programmé la journée du mardi prochain pour donner une suite à la demande, selon Ahdath.info.
Pour la partie civile, les membres de l’équipe onusienne, qui avaient qualifié la détention de Bouachrine d’arbitraire, ont été "trompées" par les allégations et les contre-vérités avancées par la défense de l’accusé.
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