
La Direction générale des impôts (DGI) a annoncé la prorogation jusqu’à fin décembre du délai initialement fixé aux entreprises inactives pour régulariser leur situation fiscale.
Présent dans une vingtaine de pays du continent africain, où il garde ses branches les plus rentables, à savoir l’exploration et la production pétrolières, le retrait qui était annoncé par Shell de ces pays n’est que partiel.
Au Maroc, la compagnie pétrolière anglo-néerlandaise ne part plus. Néanmoins, les négociations entamées avec les groupes qui devaient reprendre les activités du pétrolier, dont le réseau, carburants commerciaux, lubrifiants, GPL, aviation et marine, sont maintenues.
Le plus grand secret entoure les négociations engagées avec Shell Maroc. Seule certitude, tous les emplois seront conservés par les futurs acquéreurs.
En Afrique du Nord, les sociétés qui étaient candidates à la reprise de Shell sont le Libyen Oilibya et le marocain Afriquia.
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