Poursuivi pour distribution, diffusion, importation et vente de produits érotiques, Imad El Idrissi a été accusé d’avoir porté "atteinte aux bonnes mœurs" en commercialisant des produits pouvant dépraver les jeunes.
Le propriétaire du sex-shop a également été reconnu coupable d’avoir ouvert son commerce sur base de fausses déclarations, usurpation d’identité et informations inexactes.
Imad El Idrissi avait été placé fin mars en détention à la prison d’Oukacha à Casablanca, après avoir vanté sur internet les mérites de ses produits érotiques.
Sa boutique a fermé ses portes moins d’un mois après son ouverture. Sur cette courte période Imad aurait reçu pas moins de 5000 appels, majoritairement de femmes, voulant s’offrir des produits érotiques.