Il séduit avec ses mots simples et ses chansons chargées de réalités marocaines. Les réalités des quartiers populaires casablancais d’où sont issus des groupes comme Nass El Ghiwane et Lemchaheb, qui ont marqué sa jeunesse.
Son premier album, Ghitouni, produit par le chanteur Malek et sorti en 1988, mêle reggae, raï, funk et chaabi. Il multiplie alors les tournées à travers le pays.
Suit en 1993, Kya, qui obtient un joli succès. Puis en 1994, Derb Sultan, du nom de son quartier, dont les K7 s’arrachent dans les quartiers populaires. En 1996, c’est Nti Nti et en 1997, Iwa iwa.
Il part en tournée en France et s’installe à Lille où il fonde son propre studio. En 2001, il retourne au Maroc avec la ferme intention de contribuer à la promotion des artistes de son pays. Il sort ensuite un nouvel album Dima Kain, fortement teinté de funk.
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