Le nombre de personnes composant la délégation chargée de l’accompagnement religieux des Marocains résidant à l’étranger en ce mois de ramadan est connu.
Le mois de ramadan est synonyme de spéculation autour de produits très consommés par les Marocains. Certains commerçants véreux profitent d’une forte demande pour tenter d’augmenter leurs profits.
Au terme d’un contrôle du marché de produits alimentaires, près de 370 infractions en matière des prix et de la qualité ont été relevées par les commissions mixtes (provinciales et locales) de contrôle sur une vingtaine de jours, rapporte l’Économiste.
S’agissant des infractions, le défaut d’affichage des prix se positionne en tête. Cette infraction intervient pour 73 % des cas relevés par les contrôleurs, soit 274.
Pour le même média, rares sont les commerces qui affichent les prix. C’est parfois à "la tête du client" que le prix est fixé pour le malheur des personnes aux ressources limitées. Le défaut de présentation de factures vient en deuxième position avec 54 cas. C’est aussi un "sauf conduit" pour exagérer la marge bénéficiaire, précise-t-on.
Ces interventions ont pris en compte 25 000 points de vente en gros et au détail et des entrepôts de stockage. Au terme des interventions, 164 tonnes de marchandises, stockées ou présentées à la vente, ont été détruites. Pour la commission interministérielle, la tenue régulière de ses réunions pour être au fait de la situation du marché et sévir contre toute forme de fraude, pourrait se poursuivre.
Pour certains produits transformés, il est difficile pour le consommateur de choisir parmi un grand nombre de produits qui semblent tous présenter les mêmes caractéristiques. Surtout, lorsque l’étiquetage ne renseigne pas suffisamment sur la qualité du produit ou fait l’impasse sur sa traçabilité, déplorent les consommateurs.
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