Les mis en cause, qui ont inscrit des propos racistes et nazis au marqueur sur les stèles, toutes repeintes et restaurées dès la découverte de ces inscriptions, sont activement recherchés par la police a affirmé le procureur de Carcassonne, Antoine Leroy.
Jean-Claude Perez, maire PS de Carcassonne cité par l’AFP, a condamné ces actes qualifiés de barbares, tout en ayant une pensée pour les familles des gens qui sont morts en servant au sein de l’armée française.
Le maire, qui craint que ces actes soient politiques et prônent la haine d’autrui, estime que ces inscriptions xénophobes visaient aussi bien la communauté musulmane que juive.