
Nasser Zefzafi, leader du mouvement de contestation du « Hirak », a bénéficié d’une permission pour rendre visite à un proche malade.
Des peines allant de 10 mois à trois ans de prison ont été prononcées par la Cour d’appel d’Alhoceima à l’encontre de 17 personnes poursuivies dans le cadre des manifestations qui se sont déroulées dans le Rif il y a quelques mois.
Des sources citées par l’agence de presse espagnole EFE indiquent que les accusés étaient poursuivis, entre autres, pour « désobéissance, manifestation non autorisée, outrage à agents de la force publique ».
En tout, selon l’ONG Amnesty International, plus de 400 activistes rifains du Hirak ont été jugés ou sont en train de purger des peines allant de six mois à 20 ans de prison à Casablanca ou Al Hoceima.
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