Le ministère du Tourisme, de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire, ambitionne de former 30 000 apprentis artisans à l’horizon 2030. C’est l’annonce faite lundi par la ministre Fatim-Zahra Ammor, en charge de ce département.
Le souk marocain qui devait se dérouler dans la ville britannique de Stroke-on-Trent, n’aura finalement pas lieu. Faute de visa, les 40 commerçants marocains qui devaient prendre part à cette attraction, ne viendront pas.
La ville de Stoke-on-Trent, dans le centre de l’Angleterre, ne verra donc pas le "Moroccan bazaar" ou le bazar marocain. Elle a fini, faute de visa pour les commerçants, par annuler tout bonnement l’événement.
D’après le Daily mail, les autorités consulaires anglaises au Maroc ont refusé d’accorder le visa aux commerçants marocains. Mais ce n’est, a priori, pas la seule raison. Le journal fait état de plaintes des habitants, qui estiment que ce genre d’événements gâcherait la fête de Noël, célébration de la naissance de Jésus de Nazareth.
Un témoignage d’un habitant résume l’absurdité de la situation. "Je ne vois pas comment un tapis marocain va me faire penser à Jésus ou à la nativité". On ne sait donc pas s’il est annulé faute de visa ou en raison des plaintes des habitants de la ville.
Le souk marocain était initialement prévu du 4 au 30 décembre. Il devait réunir une quarantaine de commerçants venus spécialement du Maroc pour montrer leur savoir-faire en matière d’artisanat. D’autres villes ont déjà accueilli ce genre d’événement, notamment Leeds et Liverpool.
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