Le Maroc va procéder au recensement de tous les enfants devenus orphelins après le séisme du 8 septembre et leur accorder le statut de « pupille de la nation ».
Les Marocains qui ont émigré vers l’Italie peuvent contribuer aux développements humain, économique et culturel du Maroc, de l’Italie et des deux rives de la Méditerranée. C’est ce que révèle l’étude intitulée, "Marocains de l’extérieur", publiée par la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger.
La communauté marocaine est la deuxième des nationalités ayant obtenu la citoyenneté en Italie, indique l’étude dénommée "Marocains de l’extérieur", publiée par la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger. En tout, on dénombre 454.817 Marocains détenteurs d’un titre de séjour au 1er janvier 2017, ce qui représente 12,2% du total des ressortissants non communautaires.
En Italie, ces Marocains résidant à l’Étranger (MRE) investissent surtout dans le nord du pays, où ils continuent à s’insérer principalement dans les secteurs de l’industrie, du commerce et de la restauration, indique la même source.
En outre, les analyses menées sur ces MRE qui ont de fortes relations tant avec le Maroc qu’avec l’Italie confirment la contribution significative qu’ils peuvent apporter aux développements humain, économique et culturel des deux pays et des deux rives de la Méditerranée.
Par ailleurs, l’étude fait observer qu’il y a un besoin croissant de renverser le paradigme culturel avant même le politique par un changement de perspective. Il s’agira de mesurer le développement et le bien-être basés sur les besoins des personnes (besoins fondamentaux) au-delà de la nationalité et du processus de mobilité.
Immacolata Carus et Sabrina Greco, toutes deux chercheuses, ont conduit cette étude.
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