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Le groupe de travail de l’ONU sur les disparitions forcées ou involontaires (GTDFI) vient d’examiner trois cas de disparition survenus au moment de l’expulsion en 1975 de plusieurs centaines de milliers de Marocains vivant en Algérie.
« Le troisième cas a été présenté cette semaine au GTDFI parallèlement à l’examen de la situation en l’Algérie par le Conseil des droits de l’homme », indique le président de l’Organisation marocaine des droits humains (OMDH), Boubker Largo à la Map.
L’acteur associatif cite par exemple le cas de Hasna, âgée de 12 ans à l’époque, qui se trouvait à la frontière, côté algérien, en compagnie de ses parents et de son frère jumeau le 14 novembre 1975.
C’est aussi le cas de Omar Z., né en Algérie en 1929 qui a été arrêté et emprisonné à Sidi Bel Abbès lors de l’expulsion de sa famille. Ses proches n’ont depuis aucune nouvelle de lui.
Aujourd’hui, l’OMDH ainsi que d’autres organisations non gouvernementales veulent avant tout faire connaître cette tragédie mais aussi demander réparation pour les familles victimes de cette expulsion arbitraire.
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