L’association Matkich Waldi (Touche pas à mon enfant) demande à la justice de condamner à des « peines maximales » un ancien ambassadeur marocain, poursuivi pour prostitution de mineures.
A Fuente Alamo, dans le sud de l’Espagne, la police a mis la main sur une Paraguayenne gérante d’un club. Elle exploitait sexuellement une dizaine de femmes dont plusieurs Marocaines en situation irrégulière.
C’est Cope, un média espagnol qui a rapporté cette information. Une ressortissante Paraguayenne qui se livre à un acte aussi répréhensible qu’impudique. Le media espagnol parle de « l’exploitation sexuelle et professionnelle de dix femmes espagnoles et étrangères ». Les étrangères ne sont autres que des Marocaines et Paraguayennes. Au nombre de celles-ci, on compte cinq victimes en situation irrégulière.
A l’origine de cette arrestation, une enquête ouverte pour élucider des soupçons d’« actes criminels liés à la prostitution et à la traite d’êtres humains ». Mais la police sera très vite alertée par une autre découverte tout aussi inquiétante au sein de ce club. Il s’agit précise Cope, de « l’exploitation sexuelle et professionnelle de dix femmes espagnoles et étrangères ».
La Paraguayenne qui tirerait un « bénéfice élevé » de cet esclavage sexuel a été placée en garde à vue, tandis que les victimes ont été orientées vers des associations d’aide et des structures étatiques.
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