Cette mise en vente fait partie de la privatisation de plusieurs autres entreprises dans lesquelles l’État détient des participations, dont Marsa Maroc, Sonacos, Biopharma, Supratour et Maroc Telecom. Elle est d’ailleurs considérée par les experts comme une mauvaise décision, dont le but est uniquement de préserver l’équilibre social en raison de la pression des manifestations en cours depuis le 20 février dernier.
Les privatisations qui sacrifieront la croissance économique et l’inflation, creuseront le déficit et réduiront le volume des investissements, font remarquer des experts marocains.
Selon Attijari Finance Corp, la Société de sel de Mohammedia a produit 600.000 tonnes de sel gemme en 2010, pour un chiffre d’affaires de 120 millions de dirhams.