La proposition de partition du Sahara formulée par l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura, lors d’un exposé devant le Conseil de sécurité n’est pas du goût de Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, de la...
Navi Pillay, la Haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’Homme, intervenant jeudi devant la sixième session du Conseil des droits de l’homme (CDH) à Genève, a indiqué que "les manifestants au Yémen, en Algérie, en Jordanie, en Irak, en Iran, à Bahreïn et à Oman exigent des changements significatifs", sans mentionner le Maroc dans son rapport.
Contrarié, parce que le Maroc ne figure pas parmi les pays cités par Navi Pillay, le représentant permanent de l’Algérie auprès de l’Office des Nations unies à Genève, Idriss Jazairy, a reproché au Haut Commissaire d’être sélective ajoutant que "la référence faite à certains pays à l’exclusion d’autres cas n’est pas objective".
Idriss Jazairy a été jusqu’à demander au Haut Commissaire pourquoi les manifestations et les violences qui se sont produites il y a quelques mois dans un "certain pays" sont passées sous silence, sous-entendu les évènements qui ont eu lieu à Laâyoune et au camp de Gdim Izik le 8 novembre dernier.
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