Une mosquée dans le nord du Maroc
Affecté à la délégation provinciale des Affaires islamiques de Tiznit, il avait été déféré le mois dernier devant le tribunal, rapporte le site telquel.ma, qui rappelle qu’une plainte avait été déposée pour « abus de confiance », « falsification de données » et « détournement de fonds ».
Le fonctionnaire empruntait des sommes pouvant aller jusqu’à 3.500 dirhams à des préposés religieux pour rembourser ses dettes, et n’hésitait pas à transférer le salaire de certains « imams fantômes » sur son compte personnel.
En plus de cette peine de prison, il doit restituer la somme de 100.000 dirhams au ministère.