Depuis l’éclatement du scandale de corruption connu sous le nom de « Qatargate », les difficultés pour renvoyer les Marocains déboutés de leur demande d’asile vers leur pays d’origine se sont accrues.
Benyamin Netanyahu, premier ministre israélien, a déclaré en début de semaine que l’État Hébreu comptait adopter les mêmes méthodes que celles utilisées par l’Espagne pour protéger ses frontières avec le Maroc.
Le premier ministre israélien faisait allusion aux huit kilomètres de clôtures métalliques parallèles couronnées de fils barbelés, qui séparent Sebta et Melilla du reste du Maroc, pour combattre l’immigration clandestine et la contrebande.
Ces clôtures qui avaient coûté 30 millions d’euros, financées en partie par l’Union Européenne, avaient également forcé l’admiration du vice-ministre de l’immigration grecque, Emmanuel Othonas, pour contrer l’afflux de clandestins venant de Turquie.
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