Selon le journal Miami Herald, le nom du Marocain vient d’être inclus dans une liste de 29 prisonniers susceptibles de faire l’objet d’une libération conditionnelle et donc de retourner dans leur pays d’origine.
Son avocate a expliqué que l’intégration dans son pays d’origine ne devrait pas poser de problème étant donné que Nasir a une promesse d’embauche dans une société de traitements des eaux et qu’il dispose sur place de solides liens familiaux.
Malgré les arguments de son avocate, le prisonnier représente toujours une menace si l’on s’attarde un peu sur son passé aux côtés de l’organisation Al Qaeda où il était formateur pour les talibans et a même combattu les forces américaines.
Reste maintenant à convaincre le Maroc du retour de ce prisonnier âgé aujourd’hui de 51 ans.