Interpellé le 19 février dernier à l’aéroport de Malaga (sud du pays), l’homme pourrait être ensuite remis aux autorités marocaines si la justice l’autorise, rapportent plusieurs médias locaux.
De nationalité marocaine et répondant aux initiales A.L, il est accusé par le Maroc d’être derrière un réseau spécialisé dans l’exportation de drogues vers les Iles Canaries.
D’après un communiqué de la Guardia Civil, A.L est sous le coup d’un mandat d’arrêt international émis par le Maroc pour infraction à la loi douanière et appartenance à une organisation criminelle spécialisée dans le trafic de drogue.