En une semaine, deux déclarations de hauts responsables du gouvernement espagnol ont profondément ébranlé le Polisario.
Le numéro deux du gouvernement ibérique, Ramon Jauregui, avait déclaré la semaine dernière que le Polisario se devait d’accepter la proposition d’autonomie au Sahara proposée par le Maroc, pour mettre fin aux conditions de vie difficiles des Sahraouis sous les tentes dans les camps de Tindouf.
Dans le même ordre d’idées, la ministre espagnole des Affaires étrangères, Trinidad Jimenez, appelait quelques jours plus tard le Maroc et le Polisario à trouver d’autres issues pour régler le conflit autour du Sahara, estimant que l’organisation d’un référendum risquait d’être "très compliquée".
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