Pour réussir sa mission, le directeur général du Fonds Mohammed VI pour l’investissement, Mohamed Benchaâboun, a défini ses priorités et son mode de fonctionnement, qui ont été dévoilés lors de son premier Conseil d’administration.
Le Maroc met tout en œuvre pour attirer les investisseurs étrangers. Les bons résultats de l’activité des services et le véritable boom du secteur financier, associé aux recettes touristiques et au transfert des expatriés, ont fait que l’indice de la Coface à l’égard du Maroc s’améliore sensiblement.
En effet, le Maroc se situe en catégorie A4 (notation Coface) et a été réévalué en catégorie 3 dans le classement de l’OCDE en octobre 2006. En fin d’année 2006, le Maroc présente des signes de stabilité macro-économique avec une dette extérieure qui continue de diminuer.
Le climat de l’investissement est encore bien plus agréable comparé aux autres pays méditerranéens. L’investissement au Maroc est moins risqué qu’en Jordanie, en Egypte ou en Turquie. Rappelons que jusqu’en 2005, le Ducroire, attribuait au Maroc un risque politique très faible avec la note de « 1 » dans une notation qui va de 1 à 7, et un risque commercial élevé avec la note « C faible » dans une notation qui va de A à C.
Le Reporter
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