L’une d’entre elles consiste à identifier tous les véhicules immatriculés au Maroc et de leur refuser l’accès, rapporte la presse locale. Cette solution a déjà été contournée par les contrebandiers qui utilisent depuis peu des véhicules immatriculés en Espagne.
Face à cette parade, les douaniers marocains vont faire payer des taxes à tous les véhicules originaires de Sebta, comme l’explique le site redceuta. "Tout transporteur ayant un véhicule immatriculé à Sebta et un chauffeur doté d’un passeport espagnol, se verra dans l’obligation de payer des taxes. Le conducteur devra payer les frais de douane ou se verra confisquer la marchandise".
Pour éviter la récidive, la douane marocaine va plus loin puisqu’elle va enregistrer tous ces véhicules et identifier les auteurs. De plus, ceux disposant de papiers d’identités marocains se verront tout simplement confisquer la marchandise.