Le PJD, qui a fait cette demande auprès du Premier ministre Abbas El Fassi, indique que ce film "contient des scènes qui portent atteinte aux mœurs et aux sacralités. Pire, il traite d’Allah en utilisant des dialogues inadmissibles puisque l’un des acteurs a dit qu’Allah est trop occupé dans son isolement pour répondre aux implorations".
Le parti a donc demandé au gouvernement d’examiner ce film "qui a osé traiter de Dieu" et de prendre les mesures nécessaires.
"The man who sold the world", film adapté du roman "Un cœur faible" de Fedor Dostoïevski raconte l’histoire de X et Ney, à la fois frères, amis et amants dans un Casablanca en guerre.