Rachida Dati réclame 6000 euros de pension alimentaire par mois

24 octobre 2013 - 20h50 - France - Ecrit par : Bladi.net

La députée européenne d’origine marocaine Rachida Dati, vient d’assigner en justice Dominique Desseigne, qu’elle affirme être le père de sa fille Zohra, pour le paiement d’une pension alimentaire de 6000 euros mensuels.

La franco-marocaine avait déjà demandé à la justice, il y a tout juste un an, d’obliger le patron du groupe Barrière, à se soumettre à une reconnaissance de paternité de sa fille Zohra, aujourd’hui âgée de 4 ans. Ce dernier reconnait bien une "aventure" passagère avec Dati, mais refuse catégoriquement de faire le test.

Même si la justice a accédé à la demande de Rachida Dati de soumettre l’homme d’affaires à un test de paternité, ce dernier n’est pas dans l’obligation de le faire, d’autant plus qu’il déclare que la relation, très courte, a eu lieu avant la conception de la petite Zohra.

Aujourd’hui, la maire du VIIè arrondissement de Paris passe à la vitesse supérieure en demandant 6000 euros mensuels de pension alimentaire. D’après le magazine VSD paru ce jeudi, Desseigne ne veut pas céder à celle qui "finalement avoue qu’elle lui aurait fait un enfant dans le dos".

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : France - Droits et Justice - Rachida Dati - Enfant

Ces articles devraient vous intéresser :

Une famille marocaine au tribunal de Beauvais pour un mariage blanc

Une famille marocaine est jugée devant le tribunal de Beauvais pour association de malfaiteurs dans le but d’organiser un mariage blanc. Le verdict est attendu le 12 janvier 2023.

Le mariage des mineurs diminue au Maroc

Après une hausse en 2021, le nombre de mariage de mineurs a diminué l’année dernière. Cela représente certes une note positive, mais il y a encore du chemin à faire pour en finir avec cette pratique.

Enfants hors mariage : « la fête d’une nuit est à payer pendant 21 ans »

Comme pour les couples mariés, les enfants nés hors mariage au Maroc seront pris en charge par les parents. Une disposition est prévue dans le nouveau Code pénal pour reconnaitre leur droit, a annoncé le ministre de la Justice Abdellatif Ouhabi.

L’affaire "Escobar du désert" : les dessous du détournement d’une villa

L’affaire « Escobar du désert » continue de livrer ses secrets. L’enquête en cours a révélé que Saïd Naciri, président du club sportif Wydad, et Abdenbi Bioui, président de la région de l’Oriental, en détention pour leurs liens présumés avec le...

Hiba Abouk, séparée d’Achraf Hakimi, trouve du réconfort auprès de ses enfants

Affectée par sa séparation avec Achraf Hakimi et la polémique liée à leur divorce, Hiba Abouk continue de garder le moral haut et le sourire grâce à ses enfants Amin (3 ans) et Naïm (1 an).

Maroc : utilisation frauduleuse de l’autorisation de polygamie

Le premier président de la Cour de cassation et président délégué du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ), Mohamed Abdennabaoui, a mis en garde les présidents des tribunaux contre l’utilisation frauduleuse de l’autorisation de polygamie.

Samira Saïd : la retraite ?

La chanteuse marocaine Samira Saïd, dans une récente déclaration, a fait des confidences sur sa vie privée et professionnelle, révélant ne pas avoir peur de vieillir et avoir pensé à prendre sa retraite.

Redressement fiscal : Sound Energy fait appel

La compagnie gazière britannique Sound Energy annonce avoir fait appel devant le tribunal administratif, en vue de contester le redressement fiscal mené en 2020 par l’administration générale des Impôts, qui lui a réclamé 2,55 millions de dollars d’impôts.

Le harcèlement sexuel des mineures marocaines sur TikTok dénoncé

Lamya Ben Malek, une militante des droits de la femme, déplore le manque de réactivité des autorités et de la société civile marocaines face aux dénonciations de harcèlement sexuel par des mineures sur les réseaux sociaux.

Maroc : les crimes financiers ont baissé de 47% en 2021

La lutte contre les crimes financiers et économiques au Maroc porte peu à peu ses fruits. En 2021, les affaires liées à ces délits ont fortement régressé de 47,30%, selon le rapport annuel de la présidence du parquet.