Selon le site Tourmag, le Polisario réclame l’interdiction de cette liaison et 400.000 euros de dommages et intérêts et pour justifier ces poursuites, il brandit l’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne rendu en décembre 2016.
Cité par Tourmag, l’avocat du Polisario, Gilles Devers, explique vouloir rappeler à la compagnie qu’elle viole le droit "tel qu’il a été dit par la Cour de justice de l’Union européenne dans son arrêt du 21 décembre 2016". Selon lui, la compagnie aérienne devait demander l’autorisation au Polisario avant de lancer cette ligne.
La compagnie, elle, assure avoir obtenu les autorisations nécessaires de la part des autorités administratives de l’Aviation Civile en charge, c’est à dire le Maroc.