L’ex-entraîneur de l’OGC Nice, Christophe Galtier, ainsi que son fils, John Valovic-Galtier, ont été placés en garde à vue ce vendredi dans le cadre d’une enquête portant sur des allégations de discrimination au sein du club.
Un homme vient, devant la mosquée de Reims en France, de brandir une arme à feu factice devant les fidèles qui sortaient de la mosquée, dont faisait partie une femme voilée. Plus de peur que de mal…
C’est avec un pistolet à bille qu’un homme de 72 ans a effrayé plusieurs personnes sortant de la mosquée, en les menaçant, vêtu d’un pyjama. Cela est arrivé ce 4 juin, au matin. Cette information nous vient du site de France 3.
Ce média, qui précise que l’homme a juste pointé son arme à plusieurs reprises sans rien dire (laissant les esprits imaginer tout et n’importe quoi), nous donne des témoignages de gens ayant vécu cet incident : « Nous sortions de la mosquée de Sainte-Anne pour la fête de l’Aïd, on allait récupérer nos véhicules. Un monsieur ne voulait pas nous laisser passer, il a sorti une arme. Dès qu’on a vu l’arme, on a tous couru », a affirmé, Sara, la femme qui a été menacée par le vieillard.
Sara explique également : « On a eu peur, on pensait que c’était un attentat, on ne savait pas vraiment ce qu’il allait se passer. Heureusement qu’il n’y a eu personne de blessé ».
Un certain Mohamed, caché derrière une voiture, aurait demandé au vieux monsieur de baisser son arme. Mais ce dernier a refusé. Il continua à les menacer avec son pistolet à bille.
Le président de l’Association de la mosquée et du centre islamique de Reims (Amcir), Mohamed Bouzaggou, explique le dénouement : « Il y a eu un mouvement de panique. La police municipale, qui patrouillait sur le secteur, est rapidement intervenue et a alerté la police nationale ».
L’individu a ensuite été placé en garde à vue et entendu pour « violences avec arme ». Mais l’expertise psychiatrique dévoile qu’il n’y a rien d’anti-musulman là-dedans, à en croire le même média qui écrit : « D’après le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette, la piste de l’acte anti musulman est écartée. "L’équilibre de cet homme est pour le moins fragile, explique-t-il. Une expertise psychiatrique est en cours, sa responsabilité pénale pose question." Le sous-préfet de Reims confirme qu’il s’agit de "quelqu’un de désorienté qui a des problèmes de santé" ».
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