Maroc : Le minier intéresse

10 janvier 2007 - 18h06 - Economie - Ecrit par : L.A

Le rapport d’activité 2005 assez positif émanant de l’Office National des Hydrocarbures et des Mines (Onhym), intéresse d’ores et déjà plusieurs grands groupes pétroliers.

Outre les opérateurs étrangers qui se sont positionnés sur ce créneau, il y a quelques années, des nouveaux ont récemment passé des messages confirmant leur intérêt à travers des intermédiaires spécialisés.

En tête de ces intéressés viennent les Koweitiens qui, depuis 2004, investissent à la fois dans les domaines du raffinage et des mines. Le développement significatif des relations avec le Maroc ne pourrait qu’encourager les sociétés koweïtiennes à investir dans le domaine minier.

Ce dernier dont la superficie, selon le rapport en question, est passée de 240 500 km début 2005 à 319 000 km2 à la fin de cette même année ; soit une extension de 32%. Des chiffres confirmés par la directrice générale de l’Onhym, Mme Amina Benkhadra. Dans ce cadre, on apprend qu’une délégation koweitienne étudie, à l’heure actuelle, la possibilité de se rendre à Rabat pour évaluer sur place le volume de l’investissement à faire.

La Gazette du Maroc

Bladi.net Google News Suivez bladi.net sur Google News

Bladi.net sur WhatsApp Suivez bladi.net sur WhatsApp

Sujets associés : Investissement

Ces articles devraient vous intéresser :

Investissement privé au Maroc : la banque mondiale sonne l’alarme

L’investissement privé est en chute libre au Maroc. C’est du moins ce que révèle la banque mondiale dans son nouveau rapport de suivi de l’économie marocaine.

Le Maroc va injecter 150 milliards de dirhams dans le Fonds Mohammed VI pour l’investissement

Lancé en 2020 sur instruction royale, le Fonds Mohammed VI pour l’investissement sera renforcé pour le financement de certains grands projets, selon le ministre délégué chargé de l’Investissement, de la Convergence et de l’Évaluation des Politiques...

Le Maroc facilite la vie aux investisseurs

À compter de l’année prochaine, le nombre de documents requis pour le traitement des dossiers d’investissement au Maroc sera réduit de près de la moitié.

Transition énergétique : le Maroc sur la bonne voie

Dans un contexte difficile marqué par la crise énergétique et la flambée des prix, le Maroc est passé à la vitesse supérieure sur son chantier de la transition énergétique. Grâce à sa politique axée sur l’investissement privé dans le secteur, le...

L’huile de table Afia rachetée par le Marocain Nourredine Zine

« Savola Morocco SA », fabricant de la marque d’huile de table Afia et filiale du groupe saoudien éponyme, fait désormais partie du portefeuille du marocain Zine Capital Invest SA. Par cette acquisition soumise à l’obtention de l’autorisation du...

Le Français Faurecia va créer 1400 nouveaux emplois au Maroc

L’entreprise française Faurecia, spécialisée dans la fabrication d’équipements automobiles, va renforcer sa présence au Maroc, à travers la création d’une nouvelle usine à Salé. Dans ce sens, un protocole d’accord a été signé entre le groupe et l’État.

Le Maroc facilite encore plus la création d’entreprise

Le gouvernement marocain a franchi un pas important vers la simplification des démarches administratives pour les entrepreneurs. Jeudi 30 mars, le Conseil de gouvernement a approuvé un projet de décret fixant les modalités et les procédures de création...

Le groupe Thalès renforce sa présence au Maroc, près de 150 emplois à terme

Le groupe français Thalès, spécialiste mondial de cybersécurité, va renforcer sa présence au Maroc à travers un nouvel investissement d’une valeur de plus de 350 millions de dirhams dédié au secteur de l’outsourcing.

Investissements massifs au Maroc, 76,7 milliards de dirhams, 20 000 emplois

La Commission nationale des investissements a donné son aval à une série de 21 projets. L’investissement global de ces projets s’élève à 76,7 milliards de dirhams, l’équivalent de 6,98 milliards d’euros, selon un communiqué officiel du gouvernement.

Blachiment d’argent : le Maroc sort de la liste grise (GAFI)

Après évaluation des dispositifs mis en place par le Maroc pour lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, le groupe d’action financière (GAFI) a décidé de sortir le royaume de la liste grise.