Mardi a été célébré le deuxième anniversaire de la reprise des relations entre le Maroc et Israël. Une occasion pour Alona Fisher-Kamm, cheffe par intérim du bureau de liaison de Tel-Aviv à Rabat, de faire le bilan de ce rapprochement.
En dépit des soucis liés aux élections présidentielles, les hautes sphères de l’establishment français, ainsi que la Direction d’Armements, s’interrogent sur la réalité des informations indiquant que le Maroc pourrait opter pour l’achat des F-16 américains à la place des Rafales ou des Mirages modernisés.
Aucune confirmation n’a pu être faite jusque-là, et les informations en provenance de différentes sources ne dépassent pas le cadre des rumeurs et des rapports établis par les services français et diplomatiques positionnés en Afrique du Nord. C’est la première fois, laissent entendre les concernés par cette affaire à Paris, que les services français n’arrivent pas à avoir les informations demandées. Le black-out marocain ne fait qu’augmenter les préoccupations des Français.
Gazette du Maroc
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