Au Maroc, la plupart des jeunes filles optent pour des études scientifiques. Contrairement à la France, elles sont nombreuses à intégrer les écoles d’ingénieurs.
Une pluie de questions et de critiques concernant l’état déplorable des institutions de l’éducation nationale en milieu rural s’est abattue sur Khalid Samadi, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de tutelle, cela, au Parlement.
Lors d’une séance de questions orales au Parlement, adressées à Khalid Samadi, nommé, en 2017, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de l’Education nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, les parlementaires, que ce soit de l’opposition ou de la majorité, n’y sont pas allés par quatre chemins pour demander des comptes au sujet de la mauvaise qualité de l’enseignement en milieu rural.
Rue20 écrit : « Les parlementaires ont affirmé que les institutions d’enseignement en milieu rural se dégradaient de plus en plus et ne convenaient même plus à l’élevage de lapins ». Ils se seraient également posé des questions sur la possibilité d’enseigner en langue française alors que les infrastructures d’enseignement sont dans un tel état de délabrement.
Et, Samadi, selon la même source, de dire que ce genre de questions concerne plutôt les académies régionales et, ensuite, de présenter les avancées opérées se rapportant au transport scolaire en milieu rural. Selon lui, l’évolution en la matière continue et, une augmentation du nombre des bus scolaires est prévue, le Ministère étant prêt à conclure des accords de partenariat avec les conseils élus.
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