Le projet de réforme de la constitution qui sera soumis à un référendum populaire le premier juillet prochain, aurait été écrit en français en premier lieu avant d’être traduit en arabe.
Le choix de la langue aurait été imposé selon des sources proches de la Commission consultative chargée de la révision de la Constitution, par le fait que la majorité des membres de cette commission maîtrisent mieux le français que l’arabe.
Plusieurs fautes d’orthographes et de sens auraient d’ailleurs été relevées dans le texte final du projet de constitution, dont la copie aurait été légèrement retouchée au palais Royal, avant d’être soumise aux partis politiques.
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