L’actrice, productrice et danseuse maroco-canadienne, Nora Fatehi figure parmi les grosses pointures du cinéma indien. À combien s’élève la fortune de la plus indienne des Marocaines ?
La Biennale des cinémas arabes de Marseille, prévue du 26 juin au 3 juillet prochain, a programmé cette année cinq films récents marocains, tous tournés entre 2002 et 2004, parmi quelque 26 films représentant 9 pays.
Il s’agit d’abord de l’oeuvre de Mohamed Asli "A Casablanca, les anges ne volent pas", que les organisateurs de la Biennale ont projeté pour la presse mardi à Marseille, et qui avait séduit beaucoup d’observateurs lors de sa présentation le 17 mai dernier à la Semaine de la Critique du festival de Cannes.
Les quatre autres films marocains sont "Les voisines d’Abou Moussa", de Mohamed Abderrahmane Tazi, "Tanger, le rêve des brûleurs", de Leïla Kilani, "Les fibres de l’âme", de Hakim Belabbès et "Balcon Atlantico", court métrage de Hicham Falah et Mohamed Chrif Tribak.
Le programme de la Biennale prévoit un "Regard sur le cinéma irakien" avec la projection de cinq films, ainsi qu’un hommage à l’actrice égyptienne Madiha Yousry avec quatre projections. L’Egypte est d’ailleurs très présente dans la programmation de cette édition, avec quatre autres films, dont "Alexandrie" de Youssef Chahine et "Nuits blanches" de Hani Khalifa. Les autres films viennent d’Algérie, du Liban, de Mauritanie, de Palestine, de Syrie et de Tunisie.
Tenue pour la première fois en juillet 2002, cette Biennale est organisée par l’association marseillaise "Aflam" en partenariat avec la Biennale des cinémas arabes de l’Institut du monde arabe (IMA), dont la 7-ème édition se tient en même temps à Paris.
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