Les auteurs se sont servis des corans et des livres trouvés sur place ainsi que des produits ménagers pour allumer le feu, a déclaré le président l’association gérant la mosquée à BFMTV.
« C’est vraiment un acte criminel grave. Les faits sont troublants. C’est la première fois qu’un acte comme celui-ci se produit à Château-Thierry », a déclaré député-maire de la ville Jacques Krabal, ajoutant que le « pavillon était dans un quartier résidentiel de la ville éloigné des grands axes de circulation, et il fallait savoir qu’une salle de prière se trouvait là car aucun signe extérieur ne permet de le déduire ».
Une enquête a été confiée au commissariat de Château-Thierry et des expertises ADN ont été demandées à la police scientifique.