Le Maroc pourrait faire face à une grave crise sanitaire et à une augmentation des incidents de violence et de criminalité, en raison de la propagation rapide de la drogue « l’boufa » qui détruit les jeunes marocains en silence.
Michel Gillyns, un Belge disparu en 2009 au Maroc, où il venait d’acheter un hôtel à 400.000 euros à Salé, fait l’objet d’une enquête conjointe des autorités belges et marocaines.
Les enfants de Michel Gillyns, trop jeunes au moment des faits, ont saisi le parquet de Bruxelles, et dénoncent les nombreuses incohérences autour de sa disparition. La police marocaine elle, est convaincue que le Belge n’est plus en vie.
Pourtant Abdelhakim El Alami, fonctionnaire à Salé, affirme avoir vu Michel Gillyns le 3 avril dernier, et lui avoir légalisé un bail de gérance. L’homme est soupçonné d’avoir reçu de l’argent et fait usage de faux.
D’après La Dernière Heure, c’est le procès prévu mercredi 26 décembre de Hamza El Fadili, gérant de l’hôtel Riad Albahaca que le ressortissant belge devait reprendre, qui a donné un nouvel élan à l’affaire.
El Fadili, en différend avec Michel Gillyns au moment de sa disparition, est jugé pour le meurtre d’une jeune fille dont le corps avait été retrouvé le mois dernier dans la cave de l’hôtel. Il avait été vu avec la voiture de Michel Gillyns plusieurs jours après sa disparition, et avait affirmé à sa famille restée en Belgique, qu’il les avait quittés pour une Marocaine d’Essaouira.
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