D’un montant de 199 millions d’euros, le premier accord concerne un programme d’appui au développement compétitif et résilient de la céréaliculture. L’objectif est de contribuer à la mise en œuvre des réformes visant le développement de la productivité et de la résilience de la céréaliculture, afin de garantir la sécurité alimentaire et réduire la dépendance vis-à-vis des importations de céréales.
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S’agissant du deuxième accord, il porte sur un montant de 87 millions d’euros. Il vise l’accompagnement du chantier prioritaire de la généralisation de la protection sociale, notamment la couverture sanitaire universelle, l’extension du régime de retraite, la généralisation des allocations familiales et l’amélioration de la gouvernance et de l’efficacité du système de la protection sociale.