Alors qu’elles participaient fin octobre au Trek Rose Trip, qui sensibilise au cancer du sein, récolte des fonds pour l’association Ruban Rose et plusieurs autres structures, au Sahara, au Maroc, plus de 800 femmes ont vécu une expérience...
Une fois de plus Le Maroc réclame "la libération totale et inconditionnelle" de ses soldats prisonniers dans les camps des rebelles indépendantistes du Polisario en territoire algérien.
Il reste actuellement 410 prisonniers marocains dans les camps du Polisario, installés en territoire algérien dans la région de Tindouf (1.200km au sud-ouest d’Alger). Ces captifs sont considérés comme "les plus vieux prisonniers de guerre du monde" par le CICR qui se dit "préoccupé" par leur état de santé et appelle également à leur libération.
Certains de ces soldats sont en captivité depuis plus de 25 ans. Ils ont été capturés au Sahara-Occidental par les rebelles du Front Polisario avec, selon de nombreux témoignages concordants, l’assistance de l’armée algérienne, lors de sévères affrontements contre l’armée marocaine, entre 1976 et 1991, date d’un cessez-le-feu conclu sous l’égide de l’ONU. Depuis, le Polisario procède depuis à des libérations partielles que les autorités marocaines considèrent comme relevant "d’un marchandage médiatique". Dans un rapport d’enquête particulièrement alarmant, publié en 2003, la fondation "France-Libertés", dirigée par Danielle Mitterrand, avait souligné les "dramatiques conditions de détention" des prisonniers marocains. "France-Libertés" dénonçait notamment des "meurtres, tortures, mutilations et travail forcé" infligés aux prisonniers.
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