Un communiqué de la 2M TV fait savoir que la chaîne a su tirer un grand profit en matière d’audience au cours de la première semaine du mois sacré du ramadan. En effet, la 2M TV s’adjuge plus de 50% de la part d’audience.
La 2M TV et la SNRT peuvent s’énorgueillir de leurs performances. En effet, en ce début du mois de ramadan, ces chaînes nationales dominent le prime time en cumulant à elles deux, les 83.1% de la part d’audience. Le communiqué rappelle qu’ « avec une part d’audience de 50,6 % sur l’ensemble de la première journée du mois de Ramadan et jusqu’à 61,6% de part d’audience en prime-time, la chaîne 2M domine la télévision marocaine ».
Il s’agit là d’une performance à mettre à l’actif des programmes attractifs proposés aux téléspectateurs. D’abord notamment « grâce à l’émission “Mchiti Fiha”, dont la 4ème saison enregistre un nouveau record d’audience au Maroc avec 12,6 millions de téléspectateurs et plus de 74% de part d’audience lors de la première semaine du mois sacré », fait savoir le communiqué.
A cela s’ajoute la tranche ftour qui « signe sa meilleure performance de la semaine avec 10,6 millions de téléspectateurs rassemblés autour de « Lbhaja Tani ». Mais aussi, il y a le feuilleton « Samhini », ainsi que l’émission « Zaretna Al Baraka » et « Hdidane chez les Pharaons » qui arrivent avec respectivement 8,7 millions, 7,6 millions et 7,5 millions de téléspectateurs.
A tout ce cocktail attractif qui accroche des millions de téléspectateurs, le communiqué ajoute les nouvelles séries de 2M diffusées en 2ème partie de soirée et qui connaissent également un grand succès avec « Azzaima » qui relate l’histoire d’une femme politique marocaine (4,1 millions de téléspectateurs) et « Qsar el Bacha », un drame social qui met en vedette la ville d’Essaouira (4 millions de téléspectateurs). Comme on peut s’en apercevoir les chaines nationales 2M et la SNRT s’imposent et se taillent part du lion, avec 83.1% de part d’audience soit une progression de +7 points par rapport à la première semaine du mois de Ramadan l’année dernière, en laissant une portion congrue à l’ensemble des chaînes satellitaires étrangères qui ne dépassent pas les 17%.
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