L’indice des prix des actifs immobiliers (IPAI) s’est apprécié, en glissement annuel, de 1,3 % au troisième trimestre de 2022. C’est ce que précisent Bank Al-Maghrib (BAM) et l’Agence nationale de la conservation foncière du cadastre et de la...
Durant ces trois derniers mois, l’évolution du marché de l’immobilier au Maroc varie d’un standing à un autre. Dans haut standing, segment le touché par la crise immobilière, les ventes se font de plus en plus rares, selon Youssef Ibn Mansour, président de la Fédération nationale des professionnels de l’immobilier (FNPI).
Le prix de l’immobilier de luxe, qui n’a pas changé à Casablanca et Rabat, enregistre par contre des baisses pouvant atteindre de 30 à 40% principalement dans des villes comme Marrakech et Tanger, selon le président du FNPI.
La flambée des prix de ce segment de l’immobilier, la conjoncture internationale et l’absence de clients nationaux et étrangers de ce genre de logements sont autant d’obstacles à l‘évolution de ce secteur.
Le marché du logement social quant à lui se maintient alors que pour le logement intermédiaire, dont les prix se situent entre 300.000 et 800.000 dirhams, il existe une forte demande et d’importantes transactions encouragées par les crédits bancaires.
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