Pour Christine Lagarde, « les marchés internationaux et les investisseurs étrangers apprécieront cette décision des autorités publiques marocaines », louant les réformes du gouvernement comme la création de zones franches à Tanger et Casablanca.
« Dans le cas du Maroc, un climat plus propice aux affaires, ainsi que les zones franches à Casablanca et Tanger ont permis de créer près de 85 000 emplois dans le secteur automobile. Aujourd’hui, près de 45 % des pièces détachées pour les voitures proviennent de fournisseurs locaux. », a-t-elle déclaré.
Toutefois, elle a rappellé que les PME de la région ont d’énormes difficultés à se développer « en raison de l’accès limité au financement et de la faiblesse des cadres juridiques », reconnaissant des progrès qu’il faut « accélérer, d’élargir et de multiplier les mesures entreprises à l’échelle régionale. ».